Aujourd’hui, faire l’acquisition d’un drone et commencer à le piloter est devenu dans l’esprit de tout un chacun, une chose banale. Le nombre de drones vendu à Noël dernier en est la preuve.
Qui de nous n’a pas entendu un ami lui dire : « j’ai eu un drone pour Noël, je l’ai essayé dans le jardin …. C’est génial, mais j’ai failli le perdre dans un arbre » ?
Malheureusement, le fait de posséder un jardin ou un espace ouvert et libre en pleine campagne ne suffit pas pour faire voler son drone. Nombreux sont les utilisateurs qui ne connaissent pas les règles d’utilisations des drones et ne maîtrisent pas leur pilotage.
Sincèrement, quel possesseur de drone est allé vérifier les règles ou les lois françaises sur internet avant même de faire son premier vol ?
Je vous propose donc une série de fiches explicatives, reprenant simplement ces règles sous forme de questions/réponses, ou de cas pratique.
Bien sûr, je ne saurais trop vous conseiller de passer un peu de temps sur le site du Ministère de la Transition écologique et solidaire qui régit ces règles et qui vous permettra d’avoir tous les compléments d’informations et les dernières mises à jour de loi.
Définition du mot : « DRONE »
« Un drone (du mot anglais signifiant faux bourdon) ou sans-pilote désigne un aéronef sans humain à bord (mais le plus souvent télécommandé). Le drone peut avoir un usage civil ou militaire. En France, la réglementation incorpore les activités d’aéromodélisme avec celle des drones. » Source – Wikipédia
Aussi bizarre que cela puisse paraître, il n’existe aucune définition réglementaire pour le mot « DRONE » alors que le terme « drones civils » est utilisé par la loi d’octobre 2016.
Vous trouverez régulièrement dans les textes que vous lirez, les termes d’« aéronef télépiloté » ou « aéromodèle » pour une machine d’aéromodélisme utilisée en loisir ou en compétition.